Qu’est ce qui peut décider un plagiste à quitter les bords de mer pour achever ses vacances d’été à Metz ?? J’ai trouvé une excellente raison : les Fêtes de la Mirabelle !
Le soir même de mon retour de vacances, j’ai quitté mon Pontiffroy bouillant et rejoint le centre-ville, coeur battant des festivités ! Sur la Place d’armes se trouvait le Village de la Mirabelle, tandis que dans le ciel de la Place Jean-Paul II, se jouait le spectacle d’acrobaties « Mu, cinématique des fluides » au-dessus d’une foule impressionnante. Voici le récit de la première soirée de mes premières Fêtes de la Mirabelle !
Psychédélique village de la mirabelle
C’est donc de nuit que j’ai découvert le Village de la mirabelle, dans le cadre somptueux de la Place d’Armes.

En toile de fond, les vitraux de la cathédrale merveilleusement éclairés depuis l’intérieur.

Après être passé sous le portique lumineux, on pénétrait dans une place dans la place, délimitée au fond par une grande scène, et sur ses bords de cabanons en bois, d’arbustes en pot et de cubes fluorescents. Cette décoration d’extérieur était pour le moins… éclectique !


Au coeur de ce village, un banquet nocturne géant se tenait dans une semi pénombre. Eclairées par les cubes fluorescents et le lustre de néons couleur mirabelle, des dizaines de personnes attablées dégustaient les spécialités et pâtisseries lorraines proposées dans les cabanons et food trucks, en se rafraîchissant au Picon et à la bière.

L’improbable rencontre entre Mu et Saint-Etienne
Au même moment, le spectacle « Mu, cinématique des fluides » était en train de se jouer à plusieurs mètres au-dessus des têtes de centaines de personnes rassemblées sur les Places d’armes, Saint-Etienne et Jean-Paul II.

Le spectacle était proposé par la Compagnie Transe Express et s’était annoncé comme un « Spectacle monumental, lumineux et participatif, où musiques, images, prouesses corporelles et techniques envoleront les cœurs ». Ce spectacle original avait fait l’objet d’une importante promotion en amont car la compagnie souhaitait recruter des Messins volontaires pour participer à une parade lumineuse dans la représentation-même. S’agissait-il de ces créatures maritimes qui flottaient de manière incongrue au-dessus des têtes innombrables de la foule rassemblée ?

Une sphère métallique, censée représenter une boîte à musique, volait entre les façades de la cathédrale, du Marché couvert et de l’ancien Parlement. Sur cette mouvante, des chanteurs acrobates enchaînaient les figures dans une parfaite synchronisation.

Ils défiaient la pesanteur, et semblaient mettre également au défi les statues de la cathédrale Saint-Etienne. J’ai été saisie par les contrastes : entre les danseurs de chair et les statues de pierre, entre le mouvement permanent des acrobates et la parfaite immobilité des gargouilles, entre la hauteur imposante du majestueux édifice et la finesse faussement fragile de la sphère de métal, entre le silence divin de la cathédrale et les sons discordants (voire agressifs) de la bande-son du spectacle.


Les photographes des groupes Metz en photos, en histoires, en images et Metz by night se sont régalés devant ce tableau très photogénique et ont pris une abondance de clichés, que je vous invite à aller admirer
Après cette première découverte de nuit, il me tardait d’aller découvrir les autres animations et installations de ces Fêtes de la mirabelle. Mon récit n’est donc pas fini : d’autres articles restent donc à venir sur la suite de ces fêtes !
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